Au cœur de l’océan Pacifique, le sous-marin d’une équipe de chercheurs a été attaqué par une créature gigantesque qu’on croyait disparue : le Megalodon, un requin préhistorique de plusieurs dizaines de mètres de long.
Le sauveteur-plongeur Jonas Taylor (Jason Statham) doit risquer sa vie pour sauver les hommes et les femmes prisonniers de l’embarcation… et affronter le prédateur le plus terrible de tous les temps.

Mon avis sur « En eaux troubles »

Après avoir vu le dernier Mission Impossible cet été, et mes dernières vacances à la mer étant de plus en plus lointaines, j’ai décidé de me rendre dans les salle obscures pour m’immerger En eaux troubles. Sorte de thriller fantaisie en plein milieu de l’Océan, le film traîne quelque peu en longueur (près de 2h de contenu), mais ne manque pas d’action. Jason Statham est notamment très bon dans son rôle d’homme d’action super-bon-dans-le-passé-secoué-par-une-tragédie-qui-a-raccroché. Bien évidemment, on a une séquence ou il est torse nu, sortant de la douche; bien évidemment, il séduit l’actrice principale. Ici, il n’y a pas vraiment de gentils, pas vraiment de méchants non plus: la menace est à l’extérieur, dans l’océan. La moyenne pour un film qui passe le temps en réussissant à divertir.

Petite visite chez le dentiste pour notre mégalodon chéri.

Les spoils sur « En eaux troubles »

Au premier plan, le plus grand prédateur de l’ère moderne; et au deuxième plan, le plus gros prédateur de l’ère pré-historique!

Un mégalodon peut en cacher un autre!

Pendant une bonne partie du film, nous suivons nos héros dans leur tentative pour neutraliser le mégalodon et ainsi sauver le monde. Et lorsque le moment tant attendu arrive enfin, on se rend compte qu’il n’y a qu’une heure quinze que le film a commencé… bizarre. En fait, non, c’est logique: voilà un second mégalodon, encore plus gros que le précédent, qui sort de l’eau, pour engloutir son congénère, et tuer quelques acolytes à Jason / Jonas – prenons quelques secondes pour admirer ce parfait anagramme plein de complexité. Rassurez-vous, le deuxième mégalodon meurt également à la fin, pourfendu par notre héros plein de testostérone.

Un mégalodon, c’est pas si dangereux que ça finalement…

Kiki le chien survit au mégalodon

Lorsque Kiki tomba à l’eau, mon sang se glaça à l’idée de voir cette petite boule de poils de Yorkshire se faire engloutir toute crue par le méchant et vilain mégalodon. Heureusement, les producteurs n’ont pas été trop pervers: Kiki est épargné. Morale de l’histoire: Si tu joues dans un film de ce genre, tu as beaucoup plus de chances de survivre si tu es un animal tout petit/mignon (rayer la mention inutile).

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